lundi 20 août 2012

Conscience Globale : les preuves scientifiques



La conscience globale peut être analysée et enregistrée à l’aide de diodes à bruissement blanc. Ces dernières inter agissent avec n’importe quelle forme de conscience et peuvent donc lire tout «champ de pensées».

Depuis la fin des années 70, l’on fait des recherches aux USA dans le laboratoire du Princeton Engineering Anomalies Research (PEAR), à l’université de Princeton, sur le thème de l’interaction entre l’homme et la machine (en anglais : mind-machine-interaction). Fin des années 80 déjà, on a pu y prouver après des études approfondies que les diodes à bruissement blanc pouvaient être utilisées comme intermédiaire entre l’homme et la machine.

Depuis 1998, dans le cadre de l’étude « Global Consciousness Project », quelque 50 de ces diodes à bruissement blanc disséminées à travers le monde effectuent un balayage, non seulement de la conscience des individus comme c’était le cas jusqu’alors, mais également de la conscience globale de tous les humains. Les résultats des mesures sont, aujourd’hui, publiquement accessibles et montrent des oscillations synchrones de toutes les diodes lors d’événements à répercussion mondiale, comme par exemple, pendant la guerre en Irak, lors des funérailles de Lady Diana, ou encore pendant l’attentat terroriste sur le World Trade Center à New York, le 11 septembre 2001.
Lecture mécanique de la pensée :
Largement inaperçu du public, le programme de recherches à l’université américaine de Princeton a découvert que les machines et les ordinateurs ayant une diode à bruissement blanc incorporée comme intermédiaire, réagissent aux pensées et à la conscience des personnes qui s’y font relier. Le lien entre l’homme et la machine, un ordinateur par exemple, est effectué sans fil, et repose uniquement sur le fait que la personne se concentre par la pensée sur la communication avec la machine. L’expérience la plus célèbre dans le genre a été conduite aux USA à l’université de Princeton il y a plus de huit ans avec deux cents étudiants (sans aptitudes psi particulières prouvées) et consistait en ce que les étudiants étaient invités à penser « + » ou « – » pendant les tests.
 Le projet de conscience globale (GCP)
Roger Nelson, qui travaillait jusqu’au milieu de 2002 au laboratoire PEAR, eut alors l’idée de ne plus se limiter à ne scanner que des formes de conscience séparées, mais de vérifier s’il existe également une conscience globale et si celle-ci est également mesurable.
Depuis le milieu de 1998, il dispersa en nombre croissant, jusqu’aujourd’hui, environ 50 diodes à bruissement blanc autour du globe ; ce bruissement blanc peut être comparé à celui d’un récepteur radio qui, entre deux émetteurs, est donc réglé en pratique sur le bruissement irrégulier. A partir de chaque ordinateur, auquel chacune de ces 50 diodes est reliée, les données premières de ce bruissement sont remises, une fois par jour, par Internet, à l’ordinateur central de l’Université de Princeton. C’est là que les données sont dépouillées, et avant tout, examinées sur des déviations statistiquement significatives lorsque surgissent des événements suscitant de telles émotions, que les médias et la presse mondiales en font écho.
Les résultats sont clairs et nets :
Tandis qu’avant l’attaque terroriste sur le World Trade Center, l’oscillation fluctue prévisiblement autour de la ligne noire, le déclenchement de la catastrophe provoque une oscillation située largement au-delà du champ de probabilité, ce qui fut noté synchroniquement à l’échelle mondiale par 50 diodes à la fois.
Les champs morphiques :
S’agit-il vraiment là d’un phénomène morphique ? Le fait que la conscience globale réagit synchroniquement et à l’échelle mondiale à un événement diffusé pratiquement en temps réel par tous les médias, n’est-il pas tout simplement une preuve que, justement, nous réagissons tous de manière semblable lorsqu’un tel événement se produit ? Les champs morphiques postulés par Sheldrake procèdent d’un lien de chaque humain, individuellement, avec le champ morphique de tous les humains.
Par contre, ce champ devrait alors également réagir synchroniquement à l’échelle mondiale, sans qu’un événement soit observé consciemment et simultanément par tous les humains. Le fonctionnement de la conscience globale, sans médias à l’échelle globale ni diffusions télévisées, peut être reconnu par le fait que cette conscience globale était déjà alarmée à 4h00 heures (voir le graphique), donc presque cinq heures avant l’impact du premier avion (8h45) et six heures et demie avant l’arrivée du deuxième avion (10h30). Comme cet attentat terroriste était inconnu des autorités et que les médias n’en avaient pas fait mention avant 8h45, la conscience globale a donc réagi à partir du moment où ceux qui allaient détourner les avions, avaient commencé à mettre leur plan à exécution ! Voilà les premières preuves de l’existence de champs morphiques, qui apparemment relient tous les humains, même lorsque l’observation d’un événement se produit de manière extra sensorielle. Dans le cadre du projet de conscience globale (GCP), un grand nombre d’événements qui ont fait le tour du monde ont été examinés sur des déviations statistiquement plus que significatives des 50 diodes.
L’on peut prendre connaissance de tous les résultats sur Internet à l’adresse :http://noosphere.princeton.edu. (Prière de ne pas vous adresser à l’Université de Princeton si vous avez des questions. Le projet se sert bien de l’ordinateur central de l’Université de Princeton, mais l’adresse à contacter est celle de Roger Nelson, directeur du GCP, sous l’adresse e-mail rdnelson@Princeton.edu)
Les événements positifs influencent également la conscience globale
Contrairement à ce que l’on pourrait supposer, au vu des premières pages des journaux, la conscience globale réagit autant à un événement positif qu’à un événement négatif.
Jusqu’à présent et pendant les plus de quatre ans d’enregistrements dans le cadre du projet de conscience globale, des oscillations très importantes furent provoquées par des jours de fêtes dans le monde, par exemple.
En second lieu, viennent les attaques terroristes et les faits de guerre.
La guerre en Irak se retrouve également dans le résultat des enregistrements :
De moindres réactions sont déclenchées par les catastrophes naturelles, apparemment considérées par la conscience globale comme « normales », même si elles provoquent de grands désastres. Les plus petites oscillations sont enregistrées lors d’événements sportifs ou politiques comme les élections, etc.
Le projet de conscience individuelle : Individual Consciousness Project (ICP)
Procédant de recherches effectuées au campus du Centre d’Etudes de Médecines Naturelles Appliquées à Munich, on étudia également le champ de conscience individuelle en même temps que les recherches sur la conscience globale aux USA, puis, plus tard, le champ morphique individuel. Comme à Princeton, on fit usage de la diode à bruissement blanc, comme elle est appelée. La différence entre les deux projets sur la conscience consiste en ce que le projet américain a disposé dans le monde environ 50 diodes, qui pour ainsi dire « bruissent à l’aveuglette ».
Dans ce projet de conscience globale, on étudie le bruissement lui-même, dont les variations statistiquement significatives sont comparées, dans le temps, à des événements d’importance mondiale. Dans le projet de conscience individuelle (ICP) par contre, l’on balaie de face un champ de conscience individuelle à l’aide d’une diode à bruissement blanc, et l’on relie le bruissement de la diode à un réseau de bases de données, qui pourrait contenir tous les états existentiels possibles de la conscience ou des champs morphiques étudiés, afin de pouvoir indiquer par, une saisie correcte de cette base de données, l’état actuel des champs de conscience exactement décrit par l’ordinateur.
Dans la configuration de l’expérience de l’université de Princeton décrite au début de cet article (laboratoire PEAR), le bruissement blanc de la diode était relié, de la même manière, à une base de données composée de résultats, et a également balayé la conscience individuelle. Cette amorce fut alors reprise par le campus du Centre d’Etudes de Médecines Naturelles Appliquées munichois  ; toutefois, on ne se limita plus d’y relier des bases de données à deux propositions (« + » et « – »), mais à beaucoup plus de saisies. Tandis que dans le laboratoire PEAR à Princeton, les étudiants américains étaient invités à penser « + » ou « – », le projet de conscience individuelle (ICP) effectua les balayages sans participation active. « Cela » ou « ce subconscient global » est toujours actif et inter-actif ! Le résultat obtenu est, alors, une saisie de la base de données qui se rapporte tellement étroitement au contenu d’information du champ de conscience, que l’ordinateur confirme, comme aux USA, par l’indication d’un « + », le balayage d’une conscience qui pense « + ».
De telles bases de données peuvent contenir des informations sur des ensembles d’opinions, affirmations, points d’acupuncture, remèdes homéopathiques, surcharges etc… La diode indique d’elle-même, sans intervention humaine consciente, quelle saisie de la base de données correspond au champ balayé. A condition, toutefois, de disposer de bases de données qui pourraient contenir tous les états existentiels probables de la conscience ou du champ morphique examiné, afin de pouvoir indiquer, par une saisie correcte de ces bases de données, l’état actuel des champs de conscience précisément décrits par l’ordinateur.
Applications pratiques :
Dans le projet de conscience individuelle, l’on se sert d’un programme d’ordinateur avec des bases de données comprenant des solutions pour toutes les perturbations que l’objet ausculté pourrait présenter.
Les recherches au campus du Centre d’Etudes de Médecines Naturelles Appliquées démontrent, que les diodes à bruissement blanc peuvent, de cette manière, être mises en oeuvre et désigner, de manière fiable, à quel niveau d’information, à quelle fréquence vibre exactement le champ de conscience examiné. Le lecteur intéressé ne sera certainement pas surpris d’apprendre qu’il est ressorti de ces recherches, que non seulement les humains et les animaux, mais également les plantes et la « matière morte » en apparence, disposent de champs morphiques et de conscience.
Peter von Buengner, Marxnweg 4, 82054 Altkirchen near Munich info@m-tec.ag traduit de l’allemand par Daniel Foucart Source : www_m-tec_ag pour Morpheus.fr

Extrait du livre de Greg Braden "Le temps fractal"; 
Ce projet offre la possibilité de transcender les frontières géographiques, culturelles et religieuses traditionnelles afin d'unifier l'ensemble de la communauté humaine autour d'une nouvelle manière de vivre centrée sur des choix guidés par l'amour, et capables de promouvoir une cohérence d'esprit globale;

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